Concours terminé
Sauvage Productions présente
Mon côté punk et Lo'Jo au Cabaret Sauvage jeudi 6 juillet 2017 !
A partir de cet été et jusqu’en décembre, revivez les grandes heures du Cabaret Sauvage à travers une programmation exceptionnelle d’artistes « coups de cœur » qui ont marqué ce lieu ! ... Les festivités démarrent du 1er au 23 juillet, avec le festival d'été du Cabaret Sauvage !
Mon côté punk
Créé sous l’impulsion de Mourad Musset (La Rue Ketanou), MON COTE PUNK réuni un improbable casting d’artistes de tous horizons. Une grande famille où “la crête pousse à l’intérieur de la tête” ! MON CÔTÉ PUNK aurait pu rester ce collectif éphémère (réunissant des individualités comme Loïc antoine, Dikès, Olivier et Mourad de La Rue Ketanou ou Karim Arab de PADAM) ; mais la sauce prend et c’est justement la diversité des influences et origines de ses membres qui en fait son identité musicale et son unité. Après une tournée en Colombie en 2016, ils reviennent avec un album aux sonorités latines. De ce voyage, ils ont ramené des instruments traditionnels (Cuattro, Charango, Bombo, Congas) et des airs de carnaval … Un hymne à la vie!
Lo'Jo
Les Angevins de Lo'Jo explorent des sonorités de partout et cultivent une musique patchwork unique et pénétrée.
On écoute parfois d’une oreille distraite un ami de toujours, croyant deviner à l’avance ses paroles à venir. On achète parfois sans le lire le dernier livre d’un auteur installé qui avait pourtant durablement secoué notre adolescence. On oublie que les gens évoluent, progressent, changent, se rebiffent, vivent. On oublie que l’existence n’est souvent qu’une succession de renaissances. Ce [FONETIQ FLOWERS] nous rafraîchit soudainement la mémoire, car le groupe LO’JO y donne l’impression d’éclore à nouveau.
Après plus d’une quinzaine d’albums enregistrés depuis le début des années 80, des centaines de concerts sur tous les continents, des collaborations prestigieuses (Robert Plant, Tinariwen, Robert Wyatt, Archie Shepp…) et une aura que plus grand monde ne songerait à contester, le groupe angevin réécrit l’histoire. Ou presque. On retrouve bien entendu ici ou là les grands marqueurs de l’esthétique de l’orchestre emmené par Denis Péan, mais un souffle inédit traverse bel et bien ces treize titres enregistrés aux quatre coins du monde (Austin, Lafayette, Séoul, Tbilissi, Cotonou, Paris et Bamako). Paradoxalement, c’est pourtant probablement leur disque le moins « ethnique » malgré la présence d’un kayagum coréen, d’un panduri géorgien, d’un daf iranien, d’un rik ou d’un oud, et certainement le plus électro-acoustique de leur discographie.