The Legendary Tigerman, félin caméléon, au blues trempé dans l’acier de Suicide et des Cramps, mettra son orfèvrerie suintante et sauvage lors d’un live qui transportera pour l’occasion Petit Bain...

...sur le Mississippi, en passant par l’Afrique et le Portugal !

MERCREDI 20 MAI
THE LEGENDARY TIGERMAN (PT)
+ CLEO T.
Blues élégant et sauvage

THE LEGENDARY TIGERMAN Né au Mozambique en 1970, Paulo Furtado a grandi dans la petite ville de Coimbra, au Portugal, entre rêves et ennui. Sa seule occupation est d’écouter de la musique, d’échanger des disques avec des amis. Internet n’existe pas, et c’est un peu par hasard que le garçon, à l’âge de quinze ans, découvre le rock and roll, les bluesmen du Mississippi, T Model Ford et R.L Burnside, plus tard, le groupe punk Cramps et un autre plaisir coupable d’adolescence, le duo Suicide de Martin Rev et Alan Vega. L’hydre magnifique est entrée en lui, et n’en ressortira plus. Il vit même sans le savoir une existence de bluesman, passant l’été en Suisse où il ramasse le tabac dans les champs. Il achète à Hambourg sa première guitare électrique. Le Legendary Tigerman est né, homme-orchestre qui joue aussi de la batterie et du kazoo. Il trouve son nom en se souvenant d’un blues du chanteur Rufus Thomas, « Tiger Man », et d’un fameux modèle, le Legendary Stardust Cowboy, un « one man band » américain des années 1950. «
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CLEO T.

Cleo T. a ouvert les portes de son cabaret d’or et de lumière en 2014 pour présenter un premier album,« Songs of Gold & Shadow » , enregistré à Bristol avec John Parish, collaborateur légendaire de PJ Harvey, et incluant un morceau écrit pour l’occasion par Robert Wyatt. L’album, soutenu par la Sacem, l’Adami et le Bureau Export est sorti en Europe, avec une réédition française incluant un titre inédit « Comme Vient La Nuit ». Les yeux noirs, lèvres rouges et cheveux d’or, Cleo T. délivre une musique entre Electro Rock, Nouvelle Vague et Avant-Garde moderniste. Cleo T. c’est Alice endormie dans la chambre des paons, Salomé dansant au coeur de la Nouvelle Vague, Lorelei haranguant les marins au cabaret de la Dernière chance. Une pop retro, mélant folklore européen, cha cha électrique et déhanchés mutins. Un songwriting féminin et sauvage, pour héroïne à bout de souffle.
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