Aglaska
L’aglaska est une contradiction. Entre grands espaces éthérés et formes géométriques complexes, c’est « un mélange chaud-froid chanté avec innocence et légèreté », syncrétisme rock-électronique devenant pop lumineuse parfaitement dans l’ère du temps.
The George Kaplan Conspiracy
— Electro-Pop
La pop malicieuse et acide de The George Kaplan Conspiracy naît il y a deux ans à Dijon. En empruntant le nom du personnage clef de La Mort aux trousses, le groupe fait un clin d’œil à Alfred Hitchcock. Ce n’est pas Cary Grant qui se cache derrière un curieux complot mais bien les synthétiseurs, les guitares, les basses et les voix de Gabriel Afathi, Bastien Francoulon et Valérian Marguery. Attachés à Kraftwerk qui les a réunis, ils cultivent désormais leur pop électronique aussi bien dans les mélodies accrocheuses de Hot Chip que les productions discoïdes de LCD Soundsystem. The George Kaplan Conspiracy a trouvé sa propre personnalité musicale à la fois subtile et exaltante avec leurs structures minimales, textures new wave et rythmes entêtants.
Auteur d ‘un premier EP, Night Drive, sorti en mars 2013, le disque au nom parfaitement trouvé pourrait être la bande son adéquate d’un long trajet en voiture sur une route sinueuse au milieu de la nuit.
Avec une solide expérience live (une soixantaine de concerts en 2 ans), ils ont ouvert la scène pour Tahiti 80, Baxter Dury ou encore Tristesse Contemporaine, ont été invité par les festivals Génériq à Mulhouse, MoFo à Saint Ouen et Kill Your Pop à Dijon, et ont sillonné les salles françaises en passant par l’I.Boat à Bordeaux, l’Autre Canal à Nancy, la Flèche d’Or et le Point Éphémère à Paris.
Le groupe prépare un nouvel EP pour 2015 et sera en tournée au début de l’année.