Guillaume Farley contamine par son enthousiasme !... approchez, c'est sans danger ! Show-man depuis sa plus tendre enfance, ce sont les premières turbulences amoureuses de ce jeune garçon qui motive de longues heures passées dans sa chambre : d'autres auraient écrit des poèmes, lui, a choisi de passer ses ardeurs sur une basse électrique. En tant que bassiste, guitariste ou compositeur, il collabore avec Paco Sery, Richard Gotainer, L'Orchestre National de Lille et Youssou N'dour, Juan Rozoff, Ismael Lo, Amel Bent, Sapho, Vianney, Booster, Sandra Nkake, Grand Corps Malade, Michel Fugain, Naturalibus, en compagnie d'Hélène Mittet (avec laquelle il avait déjà �uvré dans les groupes Ich Bin Wallou et Pareil Mais Plus). Un premier album solo « En apparence de bonjour » (2011) puis un second realisé en collaboration avec Roch Havet (Têtes Raides, Michel Arbatz ??etc�) « J'attends un événement » (2016), pour défendre ce dernier, Guillaume se produit seul en scène et donne plus de deux cent concerts dans toute la France entre 2014 et 2019, notamment en première partie de Véronique Sanson , Vincent Peirani, Electro Deluxe, Magma et bien d'autres. Le voilà avec un troisième album intitulé « Blindé », réalisé par Edouard Coquard qui sortira début novembre 2021. Guillaume déborde d'énergie et de rythme, ses chansons ne peuvent en être autrement. Elles tanguent entre premier et second degré, entre gravité et légèreté, entre paillettes et charentaises, comme un trait d'union improbable entre Justin Timberlake et Mathieu Boogaerts, préférant de loin raconter des histoires, réelles, urbaines, sans victime ni coupable. Guillaume se produit seul en scène et donne plus de deux cent concerts dans toute la France entre 2014 et 2019, notamment en première partie de Véronique Sanson, Vincent Peirani, Electro Deluxe, Magma et bien d'autres. Le voilà avec un troisième album intitulé « Blindé », réalisé par Edouard Coquard qui sortira début novembre 2021. Guillaume déborde d'énergie et de rythme, ses chansons ne peuvent en être autrement. Elles tanguent entre premier et second degré, entre gravité et légèreté, entre paillettes et charentaises, comme un trait d'union improbable entre Justin Timberlake et Mathieu Boogaerts, préférant de loin raconter des histoires, réelles, urbaines, sans victime ni coupable.