7 Port de la Gare 75013 Paris
Bibliotheque-Francois Mitterrand à 480m
Quai de la Gare à 552m
BIBLIOTHEQUE F. MITTERRAND à 483m
GARE DE BERCY à 741m
Rock
Jeudi 30/10/2014 à 20:00
7 Port de la Gare 75013 Paris
Bateau, Péniche
Paris 13e arrondissement
Bibliotheque-Francois Mitterrand
16 €Prix tout public
Le demi est à 4,50 €
Concert annulé ? Complet ? Prévenez l'équipe LyloModifier les tarifs
Kongfuzi et Petit Bain s’associent pour et par l’amour des musiques sombres et expérimentales.
Kongfuzi et Petit Bain s’associent pour et par l’amour des musiques sombres et expérimentales, que ce soit le versant noise et tribal de Gum Takes Tooth, la pop baroque de Carla Bozulich ou encore le post-rock cinématique de Farewell Poetry.
GUM TAKES TOOTH
Jussi Brightmore et Thomas Fuglesang martyrisent la noise en y ajoutant une grosse influence électronique, qui donne à leur musique un ton résolument tribal et psyché, sans autant renoncer à leur origines doom ou heavy. Imaginez un Battles qui virerait metal, et vous serez encore loin du résultat, mais sur la bonne voie, de ce que ces deux hommes-machines peuvent donner sur scène !
http://www.gumtakestooth.com/
https://www.facebook.com/gumtakestooth
CARLA BOZULICH CARLA BOZULICH est une artiste curieuse au profil insaisissable. Auteure, illustratrice, multi-instrumentiste, chanteuse, performeuse, elle développe depuis plus d’une quinzaine d’années un univers poétique underground très riche. Originaire de New York et basée aujourd’hui à Los Angeles, ses nombreuses et diverses rencontres l’ont amenée à travailler entre autres avec Lydia Lunch, Mike Watt (Minutemen), Thurston Moore, Marc Ribot, Lydia Lunch, Deerhoof, Wilco, Marianne Faithfull ou encore Aidan Baker (Nadja).
Née à New York dans les tumultueuses années sixties, CARLA BOZULICH est peut-être déjà dans l’enfance empreinte de l’atmosphère de cette période d’idéalisme brisé et de créativité sans limites. Elle grandit à San Pedro, plutôt garçon que fille, et sa première apparition sur disque date de l’album de Gary Kail de 1982, « Zürich 1916″. À dix-huit ans à peine, elle chante dans deux groupes : The Neon Veins et Invisible Chains. C’est au sein du sulfureux projet alternatif/indus Ethyl Meatplow qu’elle s’illustre, les performances sexuellement explicités et burlesques du groupe s’attirant les éloges de personnalités telles que Kim Gordon (Sonic Youth) ou Julia Cafritz (Free Kitten) tout comme leur disque emblématique : « Happy Days, Sweetheart ». Carla fonde The Geraldine Fibbers un peu plus tard, en 1993, projet qui rencontre le succès et signe sur Virgin Records (« Lost Between the Earth and My Home », « Butch » ). Elle y rencontre le guitariste Nels Cline qui devient son collaborateur fidèle pour huit ans, notamment pour le duo qu’ils forment sous le nom de Scarnella fut créé, projet résolument expérimental et anti-commercial. Au début des années 2000, elle écrit et compose pour le cinéma, le théatre, et revisite en solo le classique des seventies de Willie Nelson « Red Headed Stranger ». C’est en 2006 qu’EVANGELISTA naît. Au commencement, il s’agit simplement du nom d’un album enregistré avec ses amis de chez Constellation, Godspeed ! You Black Emperor, A Silver Mount Zion, Black Ox Orkestar, Gowns, Mae-Shi, The Night Porter et Secret Chiefs. Cet album est un virage pour Carla qui présente une oeuvre sombre et expérimentale totalement assumée. Ce nouveau projet prend le nom d’EVANGELISTA en 2007 et sort trois albums : « Hello Voyager » (2008), « Prince Of Truth » (2009) et « In Animal Tongue » (2011), ces disques tout en tensions et déchirement achève d’asseoir la place de CARLA BOZULICH dans le paysage musical expérimental. Aujourd’hui, nouveau cap, nouvelle révolution, Carla sort son premier disque autoproclamé pop : « Boy ». Retour à la configuration solo, ou presque, la dame ayant composé l’album avec l’aide de John Eichenseer (aka JHNO, pianiste jazz, Dj, et développeur de logiciel musicaux), du batteur italien Andrea Belfi et majoritairement sur la route de son immense tournée à travers le monde sur deux ans : Amérique du Sud, Europe, Usa, Indie. En ressort un album généreux, immédiatement accrocheur sans rien sacrifier de l’approche résolument singulière de la musicienne, une porte d’entrée idéale sur la discographie de CARLA BOZULICH.
http://carlabozulich.com/ _https://www.facebook.com/bozulich?fref=ts
FAREWELL POETRY
"FAREWELL POETRY ressemble plus à un Think Tank qu’à un groupe de musique. Réunion d’un pool transfrontalier de musiciens autour de la poétesse et cinéaste franco-australienne Jayne Amara Ross, FAREWELL POETRY dessine au fusain des ambiances crépusculaires, de longues volutes qui grimpent et explosent, et font pleuvoir du noir étincelant. Difficilement rangeable, FAREWELL POETRY évoque le psychédélisme noir du Velvet Underground de White Light/Wight Heat, mais sis sur une incroyable érudition instrumentale." ARTE LIVE WEB
7 Port de la Gare 75013 Paris
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