Katchakine brûle ses dernières cartouches. Sous la fureur des idoles où mûrit la folie du siècle elle entre dans la nuit comme un couteau dans la chair pour y déchirer le silence dans un cri de panthère. Suivie d’une armées de spectres : Serge Gainsbourg, Kas product, David Bowie, Dante, Antonin Artaud, George Bataille et d’autres inconnus, elle invite à danser pour les mondes perdus. En 2000, elle rencontre les samples, le rap, Dostoievski et les synthés.

En 2018, elle compose RACAR. Un EP dont les tempos rapides et les couleurs criardes explosent sur un fond aussi noir que la nuit de ce monde. Sortie en avril 2019 sur Argent Sale Records
Katchakine, c’est surtout un live. Une éloquence en plein vent. Avec ses deux synthés elle incendie la foule. Moins qu’un concert, c’est une célébration Dionysiaque.