Les futures stars du rock, c'est pas eux. Princesses Leya nous prouve qu'on peut rire de tout, même du métal. Sérieux ? Princesses Leya, c'est un concert, c'est une pièce de théâtre, qui s'adresse évidemment aux amoureux du métal, mais aussi aux réfractaires des sons saturés. C'est surtout la 1 ère comédie musicale française sur le métal née de la rencontre improbable entre Antoine Schoumsky, amateur de pop acidulée, et Dedo a.k.a. le Prince des Ténèbres, que vous connaissez peut-être comme le métalleux du Jamel Comedy Club. Sur scène, accompagnés de Cléo Bigontina (basse) et Xavier Gauduel (batterie), ils campent 4 personnages qui n'auraient jamais dû se rencontrer et ces 4 bras cassés se retrouvent à jouer dans le même groupe. Le pitch ? Ça va de Rammstein à Tenacious D, avec un soupçon de Flight of the Conchords pour le côté absurde et la théâtralisation. Dress code ? Entre Game of Thrones et Bob l'éponge, Le résultat est particulièrement crétin. Nous voilà prévenus.