Gauvain Sers
Il n’y avait plus rien. Le genre avait disparu. Cette chanson française si particulière que l’on aimait tant, à la fois tendre et engagée, semblait s’être éteinte. L’héritier de Georges Brassens, Jean Ferrat et Renaud, pourtant lui toujours vivant, était introuvable. Quand soudain (roulement de tambours ou “tatatinnn” comme dirait ce même Renaud) déboule GAUVAIN SERS.