Rock
Kumisolo x Karaocake
Kabuki Femme Fatale, son 2ème album sorti en avril sur Alter-K enregistré en Suède avec le groupe Joe Davolaz est disponible.
Samedi 22/07/2017 à 20:00
Point Éphémère
200 quai de Valmy 75010 Paris
Salle de concert, salle de spectacle
Paris 10e arrondissement
Louis Blanc
5 €En prévente
Concert annulé ? Complet ? Prévenez l'équipe LyloModifier les tarifs
À propos
KUMISOLO (Alter K / Paris) : Kumi Okamoto est connue pour son travail au sein du groupe the Konki Duet (Active Suspension), ou du duo tokyoite et francophile Crazy Curl (Channel Pro). Elle s'est lancée dans l'aventure au solo autour d'un crédo simple comme bonjour -pop, pop, pop trois fois pop! - et il y a de bonnes chances que vous l'ayez entendue sur disque (My Love for You is a Cheap Pop Song est sorti en 2008 sur Active Suspension en Europe et Flau au Japon) ou dans une cave de votre ville. Insatiable, hyperactive, elle offre régulièrement soirées privées et inédits charmants sur internet, et se lance dès qu'elle peut dans des projets plus ambitieux: un projet de spectacle son et lumière avec Shoboshobo dont les spectacteurs de la Gaité Lyrique ont eu la primeur au printemps dernier, ou un rendez-vous régulier sur la web tv Konbini, Bento Box. Concentrée à 100% sur ses propres chansons et son propre univers (elle a quitté The Konki Duet après la sortie de leur troisième album Let's Bonnapetons), elle a sorti ses deux EP sur EMI, "Coeur Frag EP" en collaboration étroite avec Leo Hellden (Tristesse Contemporaine, Slove) et "La femme japonaise EP" avec Ricky Hollywood.
Kabuki Femme Fatale, son 2ème album sorti en avril sur Alter-K enregistré en Suède avec le groupe Joe Davolaz est disponible.
KARAOCAKE (Objet Disque / Paris) s'impose non seulement comme un équivalent français à Casiotone For The Painfully Alone mais distille surtout des émanations d'un Broadcast qui a laissé le monde orphelin. (Playlist society)
Les amoureux de dentelles pop frissonnantes devraient trouver leurs doses de ravissements tapis dans les replis de Here & Now. (Libération)
Quelque part entre un Phil Spector qui serait passé du Mono au Casio et du Zombies élevé en cave et joué en chambre, Karaocake continue à tracer son chemin à équidistance des belles mélodies pop et de l'irrégularité rugueuse des synthés achetés pas chers et branchés sur courant alternatif. (The Drone)