Cette première édition, vous est proposée par La Coopérative de Mai (salle de concerts à Clermont-Ferrand), qui vous invite à découvrir un plateau de 3 artistes, parmi les plus prometteurs de la scène Clermontoise !
Découvrez pour la première fois à L’Archipel : Matt Low + Alexandre Delano + Guillaume Bongiraud

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Matt Low / Nous présente son premier album. Écrit et composé entre février et octobre 2018, il a été enregistré et mixé en 2019 par Peter Deimel (DEUS, Anna Calvi, Miossec, Chokebore,…) au studio Blackbox, dans la campagne angevine.
On y retrouve son goût des ballades folk dépouillées, et on le voit aussi s’aventurer sur des terrains plus pop, où le tempo s’accélère. La douceur est toujours là mais il est désormais permis de se trémousser… La voix, grave, nous raconte une histoire d’amour, de mort, de renaissance, entre Auvergne et Arizona.

Alexandre Delano / Après avoir publié six albums au sein du groupe The Delano Orchestra en tant que chanteur et leader, et accompagné l’aventure Babel de Jean-Louis Murat, Alexandre Delano se livre à l’écriture d’un second album en français intitulé : Ven Ven Ven. Un disque intime, souvent chanté à deux voix, où les ambiances et les paysages s’ancrent et captivent, tandis que les ondes et rythmiques électroniques s’invitent au creux de cet univers traditionnel, champêtre et folk.

Guillaume Bongiraud / Musicien et arrangeur surdoué, maître virevoltant des pleins et des déliés du Delano Orchestra, avec Niandra Lades, Arthur H ou aux Transmusicales de Rennes, Guillaume Bongiraud a transcendé l’art subtil et puissant du seigneur violoncelle. (Coopérative de Mai)

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La presse (à propos de Matt Low)

« Sa ruée vers l’or sait se faire pop, comme sur Vert pomme, bijou de chanson insidieuse, justement cosignée avec Murat sur une pulsation à l’anglaise, éclairant cette sensibilité par laquelle on échappe à la monotonie. » – Les Inrockuptibles
« Un disque de bal(l)ades rêveuses et nostalgiques. » – France Inter
« Comme si Sparklehorse ou Elliott Smith étaient nés aux pieds des monts Dore. Une découverte. » – Libération