Après Ecran Total et deux ans sans nouvelles, Mustang revient en concert et en studio (des nouveaux titres enregistrés avec Arnaud Van Colen de Steeple Remove), trio plus soudé que jamais (ils se connaissent depuis le lycée - ça fera dix ans cette année), se foutant toujours des modes et des styles, n’ayant toujours comme seul idéal de faire les meilleures chansons possibles, et de les jouer dans les endroits qu'ils aiment.

"Les Aberdeeners redessinent les contours des grands espaces à taille humaine grâce à une profondeur de chant et une hypersensibilité qui projettent leur musique dans une dimension universelle. Prenez un ticket One Track Mind pour le trajet Aberdeen-Clermont."

Super Parquet ressemble à une ébouriffante exploration des musiques traditionnelles couplée à une ahurissante recherche sonore électronique. Ça n'existait pas, ils l'ont inventé. Une musique un peu sauvage, animale, où la cornemuse emblématique de l’Auvergne vient flirter avec les sons synthétiques des machines. Un banjo s’énerve, s’électrise, s’enflamme. C’est prenant, c'est planant, c'est dansant, c'est fait de tension et sans concession.

“Oscillant entre new wave, minimal synth et post punk, La Main nous susurre d’obscures histoires d’amour dans lesquelles les désirs restent inassouvis. Entre complaintes mélodiques et prophéties synthétiques, La Main semble errer dans ce lieu situé à la frontière de notre monde et de celui des âmes perdues. Mélodies entêtantes et plume soignée en français et en anglais, La Main raconte l’histoire de ces âmes qui se cherchent, mais qui ne se trouvent pas. Nous sommes prévenus, à la fin ''nous ne serons plus rien''.