Youthman has played his way through the underground scenes of Europe and Asia, filling up the biggest clubs with his bass-heavy music.

Renowned for his ability to fluidly mix and match between Baltimore, Bassline, UK Funky, Dubstep and Soul, his DJ sets maintain the essential: a booming sub bass and a critical beat to move the listener.

Not just a well-known DJ, from the early 90s Youthman forged a reputation as the DrumnBass MC in France. He performed on stage with Asian Dub Foundation from the age of 15, and then went on to sign on major UK record labels with his group “Audio Unit”. But since this time, he's also been the impulse and originator of the “Central Massive”-a DJ/Producer collective, releasing on his own label and rivalling his DJ sets with those of international fame.

Youthman’s music has been supported and playlisted by many international DJ’s such: as DJ Hype(True Playaz Rec/UK)on his Kiss FM show, L Double on BBC 1-XTRA, Fabio and DJ Bailey on BBC 1-XTRA, the European reference for electronic music. In January this year, Youthman opened for Laurent Garnier’s live tour and in July he opened for the street party of the World Wide Festival.

Since the release of his latest solo album “Travel Pack” (2009), Youthman has received repeated acclaim from respected DJs and producers including Laurent Garnier, Benji B and also Gilles Peterson via BBC Radio. Gilles Peterson was such a fan of Youthman’s collaboration with LUCE on the soul track “Brother Don’t Cry”, he declared the song, “Track of the Year” and signed it immediately to his record label. The tune was released again on “Brownswood Bubblers #5” in May 2010.

Youthman is based in Paris, France.

On ne présente plus Big Red : le fer de lance du ragga hexagonal est présent sur toutes les scènes urbaines
depuis bientôt 25 ans. Pionnier, explorateur et expérimentateur musical, il ne s’est pas contenté de
propulser le dancehall sur le haut de la scène au sein de Raggasonic, mais a aussi toujours voulu donner son
énergie, son flow et sa tchatche inclassable (et inclashable) à pousser de nouveaux sons, en cross-over sur des instrus hip-hop, ou jouant sur toute la mosaïque sonique post-rave de Londres: jungle, garage, dubstep ou grime.
Big Red a le regard constamment tourné vers le futur et son paysage musical en mutation constante.
Apres 4 albums solos, et un retour en force de Raggasonic en 2014, Big Red revient avec Crossbreed, album trippy, ode à la défonce assumée aux accents nihilistes et positiviste radical. Il y réaffirme son amour du ghetto à travers ses beats dépouillés et fracassants, puisant son inspiration dans le Screw, qui enflamme le hip hop du sud des Etats Unis et ses représentants de plus en plus audacieux. Il s’y fait aussi plaisir en laissant une place à la chaleur des basses Yardies, jouant sur le mélange explosif d’un hip-hop cru et de dub puissant, soigneusement peaufiné par son comparse Telly (Brigante Production, plus connu sous le nom de Bigga Ranx), qui pose ici des instrus hybrides ou les envolées lyriques et le flow hardcore de Big Red se diffusent dans des nappes de fumée épaisse, invitation à se joindre à la dance !
Coté live, on retrouvera l’infatigable MC dans son élément naturel, hypnotisant les foules par son flow unique et sa capacité à l’impro.

Le prince russe du hip-hop !

Né en Russie et résident londonien depuis l’âge de 3 ans, le « prince russe du hip hop » tourne aujourd’hui à
travers le monde, excellent moyen pour dénicher des magasins de disques perdus de Gdansk à Goonawara et
débusquer les plus rares et vieilles galettes. C’est avec Abstract Hallucinogenic Gases sorti sur son propre label Jazz Fudge en 1995 que Dj Vadim connaît une reconnaissance immédiate de sa définition unique et très expérimentale du hip hop.Il signe alors sur le très réputé label britannique Ninja Tune. Reconnu et apprécié de Londres au Japon, DJ Vadim crée un collage unique de beats signés Vadim où l’élégance dandy épouse son contraire à travers la recherche effrénée de sonorités nouvelles (surprise garantie). Avec son troisième album, Ussr the Art of Listening, l’expérimentation renoue avec une forme de sensualité renouvelée. Le disque possède, en effet, toutes les abstractions angulaires des
précédents albums de Vadim, mais elles sont combinées ici avec un amour de la basse, un intérêt pour la musique et les mots du monde entier. Un résultat discographique qui se vérifie sur scène également.

Vadim donne sa propre interprétation du reggae et la livre dans son nouvel album Dubcatcher (sorte de suite à son précédent opus « Soulcactcher ») sorti le 9 juin dernier. Au programme, 16 titres avec des doses de bass music, de hip-hop, de digital, de two-step et de boom-bap.