LADYBOY
Chanter d'une voix intérieure, parfois murmure, parfois éclat. Pris dans des robes électroniques tenu par un groove obscur,LadyBoy élaborent une mosaïque luxuriante.
Il collabore avec des musiciens comme Seb Martel et cherche des points de rencontre entre musique poésie, vidéos et arts plastiques, avec la bienveillance d’artistes comme Gianpaolo Pagni ,Chloé Poizat et Xavier Courteix.
Olivier Hazemann a écrit et composé des miniatures aux allures de pharmakon. Un peu remède, un peu poison.
Le nouvel album de LadyBoy , « Rose Calamine », est ici une invitation vers les fonds obscurs en quête absolue d’une liberté au delà des corps.
Laure Brisa
Sur la scène, une harpe classique, de nombreux micros, des machines, un piano électronique, un séquenceur, une grosse caisse, beaucoup de pédales et une pléiade d'objets. Laure Brisa orchestre un panthéon personnel, un opéra domestique, avec tout ce qui l’entoure. Tel le mécanisme de nos rêves, sans logique et sans linéarité, elle nous fait traverser des paysages sonores, bouclant de la pointe des pieds, étoffant du bout des doigts, peignant délicatement les contours, les angles de vues, les profondeurs de champs, les travellings de ce deuxième opus qu'elle construit à vue et dont elle offre les rouages, entourée de Thibault Lefranc pour le travail subtil du son et de Fred Poulet pour la réalisation et les projections d’images en direct.