Chanson
Soirée FrancoFans : Boule et Bonbon Vodou
Attaché à défendre la scène indépendante, les Soirées FrancoFans/Le Terrier mettent en lumière des artistes méconnus du grand public.
Jeudi 23/02/2017 à 20:00
Salle des Malassis
36 rue Pierre-et-Marie-Curie 93170 Bagnolet
Salle de concert, salle de spectacle
Bagnolet 93
LES MALASSIS
5 €Prix tout public
Concert annulé ? Complet ? Prévenez l'équipe LyloModifier les tarifs
À propos
La Ville de Bagnolet et le Magazine FrancoFans vous proposent tous les deux mois des découvertes "chanson" dans la chaleureuse salle des malassis. Punch offert.
Le 23 Février, rendez-vous avec Cedrik Boule, chanteur impertienant en trio et Bonbon vodou, duo flirtant avec la world music formé par Oriane Lacaille et JereM.
BOULE : Avec le soutien du Trianon Transatlantique de Sotteville-lès-Rouen, du Théâtre Edwige Feuillère de Vesoul, du CNV.
BOULE, c'est comme un cube mais rond - une évidence qui en dit court sur les idées longues de cet artiste fantasque à la plume aiguisée. Avec sa guitare et sa gueule d’atmosphère, BOULE a un charme singulier, léger et piquant auquel on ne résiste pas.
https://www.youtube.com/watch?v=dU6kJrgGma8
BONBON VODOU : Chanson française à tentation afro-créole
Les chansons de Bonbon Vodou sont aux musiques africaines et créoles ce que la Françafrique est à nos colonies : un pillage discret et entêté.
Bonbon Vodou c’est la rencontre d’Oriane Lacaille, fille d’une grande famille de musicien réunionnais, et de JereM, fils… de 2 psychiatres lacaniens.
JereM, avec sa guitare ou son ukulélé, de rythmes en mélodies détournés par les Caraïbes et l'Afrique, fait glisser le quotidien dans la poésie dépaysé d’un tour du monde immobile. Puis Oriane, rentre en scène. Elle porte le métissage « zoréole » de ces moitiés-moitiés de la Réunion et de la Métropole. Les deux voix douces et ensoleillées transmettent au public une bonne humeur teintée de nonchalance. Avec Kayamb et Caron – percussions traditionnelles - mais aussi avec sac plastiques et ukulélé électrique, elle va frotter la chanson de blanc-bec aux intuitions rythmiques nées de ce métissage… C’est bien de la chanson… qui glisse par l’Afrique… bifurque par Tahiti… et finit au milieu du public, dans la samba minimaliste d’une boîte de conserve géante transformée en tambour dynamitant l’ambiance d’un cortège d’onomatopées et de percussions.
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