C’est en 2007 que Fab’M apparaît sur la scène musicale, lorsque Fabien Magnani, après quelques années passées au sein d’un groupe de punk-rock, décide de créer son propre projet, folk/chanson française.

Son premier album, "Les bouts de ficelle", tisse un lien affectif avec son public, séduit par la sincérité de ses textes et l’efficace sobriété de ses arrangements musicaux.
Cet opus est salué par les professionnels, obtenant la sélection Sacem et le prix de l'UNAC 2010 de l’autoproduction.
Entre 2009 et 2012, Fab’M ouvre les concerts de nombreux artistes tels que Debout sur le Zinc, Oldelaf ou encore Tété.

Fort de ce succès, il enregistre en 2011 son deuxième album : « La Chambre Orange », sélection SACEM 2012.
Comme dans toutes les chambres, on y trouve des endroits chauds et lumineux mais aussi des recoins plus froids et plus sombres : à travers ces 13 nouveaux titres, Fab’M confirme qu’il sait jouer des contrastes en toute liberté.
Seul ou accompagné de ses musiciens, il invite son public dans sa « Chambre Orange », notamment lors de festivals : (Festival de Marne, Festival de Giverny, Festival Chanso'tone, L’Estival de Saint Germain-en-Laye…), ou en première partie de Sanseverino, Aldebert, Les Blérots de R.A.V.E.L, Renan Luce…
Sincère et généreux sur scène, il obtient en 2013 le Prix du Public du tremplin chanson « Les Envols du Scarabée », réunissant les artistes du grand-ouest parisien.

En 2014, il participe à un atelier d’écriture et compose pour d'autres artistes.
Parallèlement, il travaille sur son nouvel EP : « 2 Minutes de Soleil en Plus », sorti en 2015, inspiré de ses voyages, de ses rencontres et de ses influences musicales, baignées de pop et teintées de folk.

Depuis le début de sa carrière, Fab’M nous fait partager ses histoires avec pudeur et sensibilité.
Sur scène, il dévoile son humour et sa subtilité, par le biais d’anecdotes sur l’historique d’une chanson ou la source d’inspiration d’une autre.
Maniant la langue française avec naturel et intelligence, il offre une écriture décalée et profonde, mise en lumière par son interprétation.

Sur sa terre de contrastes, entre douce ironie et poésie espiègle, ce mélancolique joyeux se fait passeur d’émotions.
Alors, n’hésitez pas : prenez votre passeport et embarquez !

Maxime Tailliez témoigne d'une époque où l'on ne sait plus trop à quels saints se vouer et à quels seins se vouer. Des chansons qui nous racontent ce que l'on n'a pas le temps de voir, ce que l'on ne prend pas le temps de ressentir complètement. C'est un peu de nous avec des mots dessus.

Un show guitare-chant-percu dans lequel émotions sincères, fausse naïveté et humour se côtoient et se touchent. Sur des rythmes urbains métissés, de pop-folk chaloupée, la musique s'amuse à faire chanter les mots avec finesse et sans artifice. Le côté brut de l'acoustique prédomine.

Auteur-compositeur et interprète avec le groupe Courir les rues, il souhaite en parallèle retrouver la simplicité et la mise à nue du format solo. C'est tout nouveau, c'est tout frais et ça ne fait pas semblant.