Pour fêter l’été et le plaisir de se retrouver en toute liberté sur les bords de Seine, venez vivre une soirée de concerts magique le 1er août prochain !

Du Pont de l’Alma à la Bibliothèque nationale de France, en passant par le Musée d’Orsay, l’Hôtel de ville ou encore le Square Tino Rossi, la pop-folk pétillante de Djazia Satour et le « Bofenia rock » des Jupiter & Okwess inonderont les deux rives.

Suivre le bateau ou plutôt guetter son arrivée, ce sera à vous de choisir !

Les DakhaBrakha que nous avions initialement programmés sont actuellement bloqués en Ukraine. Nous ne manquerons pas de vous tenir au courant si leur venue peut finalement avoir lieu.

DJAZIA SATOUR, ASWÂT

Dans son dernier album Aswât (« Des voix »), Djazia Satour explore dans une veine subtile et personnelle l’héritage musical algérien. S’y mêlent, avec une grande poésie, le chaabi de l’Alger des années 50, les rythmes ancestraux des bendirs, les mélodies raffinées du banjo, du mandole et les basses et les claviers analogiques d’une pop-folk pétillante.

L’artiste chante avec passion, ici exclusivement en arabe, la dépossession de l’exil et de l’errance, l’amour au milieu des tumultes du monde. Sa voix vous saisit, vous envoûte.

JUPITER & OKWESS

Voix de stentor au groove implacable, gueule émaciée et présence explosive, Jupiter ne laisse personne indifférent. Découvert en 2006 grâce à Jupiter’s Dance, documentaire consacré à la nouvelle scène musicale de Kinshasa dont il est l’une des figures emblématiques, celui qu’on surnomme le « Général Rebelle » n’a de cesse d’explorer l’immense richesse des rythmes, langues et coutumes des quelques 450 ethnies congolaises. Un patrimoine qu’il transcende avec son groupe Okwess de sonorités funk, rock et soul pour produire une musique débordante de vitalité et furieusement imprévisible.