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Jeune adolescent, Karim Albert Kook découvre la guitare par hasard : un cadeau magique offert par un de ses frères. Enfant, il est venu d’Alger avec les siens pour chercher un traitement à une maladie le clouant dans un fauteuil roulant. Il trouve une échappatoire salvatrice en cette guitare qui aura une influence déterminante sur sa destinée. Pour briser la monotonie des journées de soins et des centres hospitaliers toulousains, Karim, véritable autodidacte, se lance corps et âme dans l’exploration des rivages du blues. Inspiré par les maîtres du genre tels Muddy Waters, Sonny Boy Williamson, Robert Johnson, il développe rapidement une virtuosité exceptionnelle.

Dès 16 ans, il crée des liens avec le milieu artistique : sa présence musicale impressionne. Un nouvel exil s’impose : direction Paris. Auteur, compositeur, interprète, il devient une figure montante de la scène blues parisienne. Au fil des ans il raffine son jeu en ajoutant à son blues des colorations personnelles puisant l’inspiration dans ses origines algériennes.

Viennent les rencontres déterminantes qui conduisent à la sortie de 3 albums. Patrick Verbeke sort le premier opus de Karim Albert Kook sur le Label Magic-Blues : « Les choses ressemblent à ça », comprenant un titre avec Luther Allison. A son tour, Philippe Langlois pour le Label Dixie-Frog produit « Je roule vers toi », une sorte de pied de nez au mauvais sort. A l’occasion d’un road trip aux Etats-Unis, Karim Albert Kook se lie d’amitié avec Guy L’Américain. Le 3ème album de Karim, « Barbès City Limit Blues », est le fruit de leur belle complicité.

Artiste de live avant tout, Karim Albert Kook joue sur les scènes les plus prestigieuses dont, le « Petit Journal Montparnasse », le « New Morning « , ou le « Palais des Congrès » à Paris où il partage l’affiche avec B.B.King, le mythique « Archie Edwards Barber shop » à Washington DC, la salle « Ibn Khaldoun » d’Alger. On le retrouve aussi dans des clubs plus intimistes, créant des moments de partage uniques avec des artistes de renom.

Après avoir fondé une famille et surmonté la mort de Guy l’Américain, en 2018, Karim Albert Kook retrouve le chemin des studios. Il choisit d’inviter de nombreux musiciens de talent à prendre part à l’écriture, ajoutant notamment des cuivres et des claviers. Il nous livre une œuvre plus mûre qui dévoile la profondeur de son auteur : « Il était un voyage ».

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