Les Ateliers Médicis, le Centre national des arts plastiques et les Magasins généraux s'associent à Nuit Blanche pour une soirée spéciale : visites de l'exposition « Regards du Grand Paris » et 5 heures de DJ set avec Vénus Club

⌲ Événement samedi 1er octobre de 20h à 2h
⌲ Visite de l'exposition avec l'équipe de médiation jusqu'à minuit
⌲ Bar et petite restauration en continu avec Le Relais Pantin
⌲ Entrée libre et gratuite

AU PROGRAMME
Des visites guidées à 𝟭𝟴𝗵, 𝟮𝟬𝗵 et 𝟮𝟮𝗵 par l’équipe de BIM | Bureau Indépendant de Médiation

Un parcours de visite transversal d'environ 1 heure pour découvrir l’exposition « Regards du Grand Paris » au travers d’une sélection d’œuvres, accompagné par un·e médiateur·rice culturel·le.

« Regards du Grand Paris » est une exposition photographique des Ateliers Médicis et du Centre national des arts plastiques avec les Magasins généraux et la Société du Grand Paris, en collaboration avec le Musée Carnavalet – Histoire de Paris.

✵ 𝟮𝟭𝗵-𝟮𝟯𝗵𝟯𝟬 — DJ set de Perdu et Retrouvé

Raveuse dans l'âme, Perdu et retrouvé se nourrit d’influences post-punk, industrielle, house, électro et techno atmosphérique.

✵ 𝟮𝟯𝗵𝟯𝟬-𝟮𝗵 — DJ set de Domi

Grande fan d'électro des années 90-2000, Domi parsème ses sets de touches de techno, de house et de breakbeat.

VENUS CLUB
« Crew féminin de DJs et passionnées de bon son, le Vénus Club mise sur son énergie et son éclectisme pour vous faire taper du pied et vous envoyer dans l’espace ! De la house à la trance en passant par l'electro et la techno, vous trouverez forcément votre bonheur dans la myriade de genres que propose le Vénus Club. Houston, paré.e.s à décoller ! »

Perdu et retrouvé
« Raveuse dans l’âme, Perdu et retrouvé aime stationner devant les sound systems. Si elle se nourrit d’influences post-punk, electro, industrielle et house, la techno reste son genre de prédilection mais surement celui où elle est la plus exigeante. Amoureuse de musique progressive, elle aime façonner un son mental et percussif. »

Domi
« Grande passionnée de musique électronique depuis une dizaine d’années, Domi s’immerge rapidement dans la club culture qu’elle affectionne au point de devenir activiste dans le milieu. Son but : défendre la place des femmes et des minorités tant sur le dancefloor que derrière les platines. En parallèle, elle commence à collectionner les vinyles : choisir et posséder les disques lui apporte une grande satisfaction. Elle décide alors de conjuguer sa passion pour la musique et son engagement militant en s’initiant au djing. Chaque gig devient alors pour elle l’occasion de partager avec son auditoire ses découvertes musicales qui vont de l’électro des années 90-2000 à la techno en passant par la house et le breakbeat. »